Nicolò Canova est un jeune illustrateur italien qui aime la France. Ce Turinois de 34 ans, au expertise des grands, est l’auteur de l’affiche officielle du prochain Tour de France. Une affiche historique, automotive l’édition 2024 est historique. Pour la première fois, elle partira d’Italie et arrivera à Good. Sous “le soleil qui unit mon Italie à votre belle ville”. Malgré son jeune âge, il a déjà travaillé avec les plus grands journaux du monde. Pour lui, le Tour est le fleuron d’une carrière aussi rapide qu’éblouissante. Un maillot jaune conquis grâce au pouvoir de l’creativeness et à un coup de crayon surprenant.
Remark avez-vous décidé de devenir illustrateur ?
J’ai commencé un peu tard d’un level de vue professionnel, automotive je n’étais pas très sûr de mon avenir, mais depuis tout petit, j’ai toujours eu un crayon à la important. À un second donné, j’ai décidé d’abandonner tout ce que j’avais et de me lancer dans l’aventure de l’illustration. J’ai étudié à Turin dans une école internationale. Cela n’a pas été très facile au début, mais il y a trois ou quatre ans, il y a eu un tournant dans ma carrière et j’ai eu le plaisir de travailler ces dernières années avec de très grandes marques, dans l’édition et la publicité.
Remark avez-vous été sélectionné par le Tour de France ?
La custom du Tour veut qu’un artiste du pays qui accueille le grand départ dessine l’affiche officielle. J’ai soumis ma candidature à une agence de Milan, qui dirige l’ensemble du plan de communication pour le compte d’ASO (la société organisatrice du Tour de France, ndlr). J’ai ensuite été sélectionné parmi tous les collègues italiens qui avaient soumis un projet.
Remark s’est déroulé votre travail ?
Je me suis senti investi d’une grande responsabilité. Au début, c’était très effrayant parce que l’organisation me laissait complètement carte blanche. Il n’est pas facile pour un artiste de commencer un travail sans directives. J’ai présenté mes idées à ASO, qui les a immédiatement appréciées, et parmi toutes les idées que j’ai présentées, c’est celle que tout le monde a pu voir sur l’affiche qui a été retenue.
Remark est née l’idée finale ?
La seule façon de surmonter la panique initiale de la feuille blanche était de commencer à étudier. Je devais comprendre le lien entre l’Italie et la France, en particulier Good. J’ai visité votre ville à deux reprises et j’ai été frappé de manière très forte par la place Masséna. À ce moment-là, j’ai commencé à penser à cette belle place et j’ai eu une révélation.
Laquelle ?
La belle fontaine avec la statue d’Apollon, le dieu du soleil. J’ai alors réalisé que le level de départ était celui-ci : le soleil. Le soleil est idéal pour représenter une course cycliste, automotive il est le symbole de l’énergie, du défi, de la vitalité. Le soleil est également l’élément qui unit l’Italie au sud de la France. La couleur du soleil, le jaune, est de plus la couleur du Tour.
Et que représente l’affiche ?
On voit très bien les quatre cyclistes qui partent à l’aventure sur des milliers de kilomètres. Ils partent de Florence et passent par Bologne, Rimini et Turin. Traversant les Alpes, ils atteignent enfin le chaud soleil de la Côte d’Azur. Voilà le idea : une course vers le soleil.
En visitant Good, qu’est-ce qui vous a marqué ?
Pour moi, Good représente la France. Elle a été pour moi, il y a longtemps, mon premier contact avec votre pays. D’un level de vue architectural, je l’ai trouvée très proche des villes du Piémont. Elle ressemble à Turin avec une selected en plus : la mer splendide qui la rend distinctive.
Que pensez-vous de la France ?
J’aime la France et j’ai envie de la découvrir davantage. J’aime les Français et la delicacies française. En Italie, le stéréotype du Français est un peu négatif. En réalité, ce n’est pas le cas. Tous les Français que j’ai rencontrés ont toujours été très gentils, chaleureux et accueillants avec moi.
Venons-en au cyclisme. Que représente-t-il pour vous ?
En général, je ne suis pas beaucoup le sport (rires). Mais de tous les sports activities, le cyclisme est celui que je fréquente le plus en raison d’une custom familiale : mon oncle a été cycliste professionnel, il y a longtemps. Je suis très fascinée par le côté héroïque des cyclistes qui se lancent dans une aventure semée d’embûches et qui finissent par arriver à la ligne d’arrivée après beaucoup d’efforts et après avoir surmonté de nombreuses adversités. J’envie tellement leur power de volonté. L’étude que j’ai menée dans le cadre de ce projet m’a fait découvrir tant de belles choses sur ce sport.
Suivrez-vous le prochain Tour de France ?
Bien sûr que je le suivrai ! Pour nous, Italiens, c’est un événement historique. De plus, j’espère que ce sera l’event de revenir dans votre ville et de découvrir sa beauté plus en profondeur.